Chaque fois que le Gouvernement fédéral dégage un peu de liberté d’action financière, les péquistes et autres québécois syndicaleux réclament des transferts accrus à la province, car “c’est ici que se trouvent les VRAIS BESOINS”.
Lorsque, occasionnellement, le Gouvernement du Québec quitte temporairement le respirateur artificiel, ces mêmes braves réclament l’argent d’oxygène économisé ..
Peu de chances que notre province nettoie sa porcherie : les gorets sont trop gras et trop nombreux.